Mes baskets en mode procrastination …

Connaissez vous un mot plus laid que le mot PROCRASTINATION ?

La musique et la complexité du mot rebutent au plus au point et pourtant il nous concerne bien souvent ! Dans mon cabinet, en coaching, combien de fois ai-je entendu des lamentations concernant ce « péché » inavouable ! Et pourtant quelle belle clé pour explorer une situation, débloquer un processus, réévaluer une tâche ou … même passer à l’action !

Procrastination et motivation

Quelle est cette tâche que vous repoussez sans relâche, au point d’y dépenser une énergie folle en culpabilité, remords, stress, inquiétude… ? Procrastinez-vous quand il s’agit de faire quelque chose que vous aimez, qui vous procure du plaisir, une gratification personnelle ? Non, évidemment me direz-vous ?

Revenons à cette tâche, telle qu’elle se présente, avez-vous VRAIMENT envie de la faire ? Oui ? Non ?

Si oui : Qu’est ce qui vous rebute dans le processus ? Quelle étape vous bloque ? Connectez vous dans ce cas au plaisir, à l’envie, à la satisfaction de la réalisation de l’objectif – Visualisez ce plaisir de la tâche accomplie ! Revoyez aussi les étapes à réaliser ! Imaginez vous dans une randonnée en montagne, choisissez de regarder les étapes, les unes après les autres, plutôt que de regarder le haut du sommet. Ou peut être êtes-vous un faux procrastinateur et dans ce cas, c’est que ce n’est pas encore tout à fait le moment … (cf. ci-dessous)

Si non : Quelqu’un d’autre pourrait-il la faire à votre place ? Si la réponse est positive, vous avez la réponse, il suffit de demander, et dites vous bien que ce vous n’aimez pas faire d’autres seront parfois ravis de la faire à votre place ou de vous rendre service!

Si la réponse est de nouveau négative … comment pourriez la faire, peut être … autrement mais avec plaisir ? En étant accompagné(e) ? Peut on vous aider ? Si non toujours … si elle n’est ni vitale, ni utile, ni nuisible si non réalisée … rayez là purement et simplement de la « Tout Doux Liste ».

Dans le cas contraire (vitale, légale, … bref quelque chose qui peut induire des conséquences bien fâcheuses et/ou graves), reconsidérez, dans ce cas très rapidement et sans procrastination ( !), la notion d’accompagnement interne (votre entourage), ou externe (médecin, psy, coach, associations d’entre-aide, etc.). Ce type de comportement peut en fait cacher un blocage plus profond qu’il convient de traiter.

Et si vous étiez un faux procrastinateur ?

Et si, en fait, vous étiez en train d’infuser ? L’idée ici n’étant pas de se la jouer à l’envers et de se trouver une bonne excuse mais d’observer votre processus interne et personnel. La procrastination peut avoir des vertus créatives. Il est bon dans son processus créatif de réserver un temps de butinage, de lenteur, de stagnation, de zapping d’activités. Si vous êtes de vrais « faux procrastinateurs », ce temps est bénéfique à la cogitation, à l’imagination, à la connexion d’idées, à la récolte de nouveautés ou d’informations.

Ce temps élastique et cette lenteur sont de supers alliés d’une bonne réflexion ou planification. Comme un temps de maturation ! La tâche à réaliser ensuite n’en sera que plus agréable, simple, fluide et parfois (souvent) même agréable !

Après cette exploration … 2 propositions :

• Allez, au boulot, il est temps de se bouger ! et ECLATEZ-VOUS !
• Ou … glandez mais bien et… en pleine présence 😉 et PROFITEZ !

#BDMBAttitude, Dessinez Vos baskets …

Dans le cadre du programme « Coming into your own », j’utilise un outil puissant construit autour de 4 archétypes majeurs de Jung. Pour faire simple, cela se résume à envisager un challenge (personnel et/ou professionnel) sous 4 angles différents.

C’est bon ? Peut être qu’une voix vous susurre à l’oreille … c’est quoi le rapport avec tes baskets ? J’y viens … patience, j’entends d’ici le crissement des vôtres…

Je vous présente mes baskets pour une « #Coachefficace bien dans ses baskets » inspirées d’une combinaison des baskets des 4 personnages des romans de la Table Ronde qui incarnent ces 4 archétypes:

• Les baskets de Guenièvre, l’amoureuse, femme du Roi Arthur … et qui, accessoirement, aurait un peu fricoté avec Lancelot, chuuut ! : Elles changent de couleur en fonction de mes émotions. Ce que je ressens a peut être du sens pour aider mes client(e)s à envisager leur processus différemment.
• Les baskets de Lancelot, le guerrier qui va mener des combats et une Quête et qui accessoirement … cf. ci dessus 😉 : Elles sont solides et tout terrain, bien ancrées dans le sol. Je peux ainsi suivre avec agilité mes client(e)s dans leur exploration tout en étant centrée sur l’atteinte de leur résultat concret.
• Les baskets de Merlin, le magicien, qui voit tout et envisage toutes les solutions ou le champ des possibles et … bien au dessus de la petite histoire décrite plus haut…: Elles sont légères avec un simple élan, j’aide mes client(e)s à prendre de la hauteur pour porter un autre regard sur leur situation.
• Les baskets d’Arthur, le roi, qui adoube, embrasse le passé, le présent et le futur … le visionnaire mais aussi … chuuut cf. le début : Elles sont fabriquées à la main avec un vrai savoir-faire, le design est moderne et actuel, elles sont 100% recyclables pour devenir autre chose demain et dans 100 ans … ça c’est le changement durable,  écologique,  intégré et déployé dans un processus de coaching.

Ce petit exercice aujourd’hui me centre  sur les fondamentaux de mon métier.

Et vos baskets, à la lumière de ses 4 points d’exploration … elles ressemblent à quoi ?

Pour info, le prochain programme « Coming into your own » pour les femmes aura lieu du « CIYO » du 8 au 11 mars 2016

#BDMB attitude Bien dans mes vieilles baskets!

J’avais plein d’idées pour le post de cette semaine mais mon actualité en a décidé tout autrement.

Un événement m’a replongé quelques années en arrière. J’y avais l’insouciance de la jeunesse et la conviction d’un monde très binaire, peut être en noir et blanc et c’était bien … à l’époque.

Aujourd’hui, ma palette de couleur est vaste, plus riche, plus dense, plus intense, plus complexe et pleine de nuances. Il me manque certes l’insouciance, parfois, mais je m’enrichie et grandie chaque jour grâce la diversité et aux couleurs du monde qui m’entoure.

Alors, ce qui résonne pour moi aujourd’hui c’est un poème magnifique de Charlie Chaplin, et plus particulièrement ce passage sur La Maturité:
…« Le jour où je me suis aimé pour de vrai.
J’ai cessé de vouloir une vie différente
et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive
contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle…la Maturité. » …
Charlie Chaplin termine son poème par « Du chaos naissent les étoiles… », je pense ce soir plus particulièrement à une nouvelle étoile qui brille.

Bien dans mes baskets en 2016…

Pression … le premier post de l’année … Il va falloir envoyer du lourd, histoire de marquer les esprits … C’est parti , euh euh … ça fait ploufffff. Voilà globalement mon état d’esprit de ce lundi après la trêve de Noël et des fêtes où j’ai vécu hors du temps.

L’idée de ce post a germé ce matin lors d’un appel avec une amie où finalement notre question, plutôt que de se souhaiter les traditionnels vœux , a été … que souhaites tu pour 2016 ? J’avoue que je n’ai pas eu de réponse tout de suite si ce n’est une envie ou un besoin de sérénité et ça a trotté dans ma tête depuis…

J’ai alors décidé de regarder les choses sous 3 angles : Passé – Présent – Futur et me suis posée 3 questions :

• Quelles sont les émotions qui me viennent quand je revisite l’année 2015 ? C’est une grande tristesse et un sentiment d’insécurité quand je me remémore les tragiques évènements de l’année, puis très vite est apparue la joie en repensant à toute la profondeur des magnifiques rencontres que j’ai pu faire tout au long de l’année, je me suis alors connectée à une immense gratitude pour les personnes, pour moi et toutes les occasions qui m’ont apporté ce cadeau.
• Comment je me sens … là maintenant ? Une tension entre deux pôles … la confiance (j’ai semé et je récolte) et la pression, à faire mieux, vivre mieux, comme une urgence.
• De quoi ai je besoin pour mon futur ? Trois mots s’imposent à moi, intuitivement dans la lignée de mon passé et de mon présent : Réalisation, Sécurité, Solidarité.

Voici ce qu’il faut me souhaiter et ce dont mes baskets ont besoin pour cette année 2016. A moi de mettre en musique maintenant 😉

Et vous de quoi ont besoin vos baskets pour s’envoler en 2016 ? Dites le moi, partagez-le, pour que nous soyons nombreux et nombreuses à porter vos intentions et besoins pour 2016 ?

Il va sans dire que sans réponse de votre part … je vous souhaite tout de même une BONNE ANNEE 2016 😉

 

Mes baskets ont bouffé un clown ;-)

Engluée depuis plusieurs semaines dans l’actualité schizophrène de notre monde, j’ai pris un bon coup de pied aux fesses et une bonne dose d’endorphines pour me remettre en selle lors d’un atelier animé par Aurélie Collet, fondatrice et dirigeante d’une petite entreprise qui deviendra grande « The Smile Workshop ».

4 heures de découverte des bienfaits du rire synonyme de performance, et de Yoga du rire. Un bon Kif comme on les aime comme dirait la reine du KIF, Florence Servan -Schreiber.

J’ai pris conscience que je ne riais plus depuis quelque temps, peut être même longtemps… je souriais beaucoup mais je ne savais plus rire à gorge déployée (d’ailleurs … j’ai eu plein de courbatures le lendemain) … rien que de me reconnecter avec cette sensation délicieuse tout est reparti, la machine s’est relancée. Tous les jours qui ont suivi ont été joyeux, festifs, doux et légers. C’est redevenu naturel.

Et cela, en autres trucs et astuces, en faisant l’exercice de faire semblant de rire pendant une minute. D’autant que le corps, lui, n’a pas tellement le sens de l’humour : rire ou faire semblant lui fait le même effet (le saviez vous … par exemple vingt secondes de rire équivalent à trois minutes d’aviron ou de marche rapide, et ce n’est qu’un tout petit bénéfice et exemple)

C’est très étrange au début… voire même un peu douloureux… mais c’est d’une puissance redoutable.

Cette expérience que je renouvelle d’ailleurs maintenant très souvent (le ridicule ne tue pas … c’est prouvé, maintenant je sais que c’est vrai) résume globalement bien ma vision du développement personnel à savoir un booster pour se (re)mettre en action et en mouvements bref se changer pour changer le monde. Un bel enrichissement simple et concret … presque du bon sens pour rayonner et faire bouger les lignes.

Passez de bonnes fêtes et riez à gorge déployée 😉 c’est pas cher et ça peut rapporter gros 😉

Développer un projet solide en toute sérénité #bien dans ses baskets

Une idée germe dans ma tête … et très vite c’est pour moi tempête sous un crâne… Par quel bout commencer ? Est ce que c’est une bonne idée ? Ca doit déjà exister ? Comment développer cette idée ? Avec qui ? Quand ? … Je partage avec vous le processus qui m’accompagne et me permet de passer d’une étape à une autre de manière écologique pour mes baskets :

• Tout d’abord, je commence par RIEN… ou plutôt j’accueille cette idée, envie, pulsion en l’écrivant sur mon téléphone, un morceau de papier et puis plus rien… je croise ce bout de papier, de temps en temps, je relis mes notes sur mon téléphone. Mais rien d’autre, un peu comme une graine toute seule, encore sèche.
• Puis, vient le moment où je partage, j’en parle, je questionne intuitivement mon entourage et les personnes que je rencontre au gré de mes activités. Je la regarde prendre forme, changer d’apparence, s’ouvrir à de nouvelles perspectives, jusqu’à ce qu’elle atteigne une texture, une apparence qui me conviennent. La graine se développe et prend racine.
• Alors, je me mets en mouvement. Mes rencontres et échanges m’ont permis de me lancer dans l’action, le développement, la rédaction, la mise en ligne. Je peux avancer de manière efficace car j’ai tous les outils, toutes les relations, tous les éléments qui m’accompagnent dans l’action. La graine grandie, sort de terre, est visible et se nourrie de la lumière, les bourgeons des fruits pointent leur nez.
• C’est alors que vient le temps de la récolte, du constat des résultats, des appréciations. Les fruits sont arrivés à maturité. Ils développent leur jus, deviennent de plus en plus sucrés gorgés de soleil.
• Maintenant, un cycle se clôture, les résultats sont là… avec des leçons, des expériences, confortables … ou pas mais à terme toujours enrichissantes. Un peu comme les fruits dans un panier, prêts à la consommation, ou sur la terre, prêts à semer par ci par là des graines.
• Vient ensuite le temps de la célébration, celui d’accueillir, quoiqu’il se soit passé, le résultat. Et ce afin de laisser la place à un nouveau cycle qui va émerger. En laissant là, les joies ou les peines, les satisfactions ou les regrets. Pas de doute à avoir sur le fait que ce processus fécondera le prochain…Un peu comme la saison d’hiver qui permet à la terre de se reposer et de se régénérer.

Reprenez votre dernière idée ou projet, prenez le temps de passer en revue ces étapes et alors constatez, ajustez …

Pour ma part, plus je respecte ce processus et plus je suis bien dans mes baskets 😉

Mes baskets vous invitent à mettre votre talent en lumière…

Au retour d’un magnifique programme « Coming into your own » (un programme au féminin – une invitation à prendre un temps pour soi), en rangeant mes baskets … j’ai été attiré par ce magnifique texte de Marianne Williamson cité par Nelson Mandela lors de son discours d’investiture à la présidence de l’Afrique du Sud en 1994.

« Notre peur la plus profonde n’est pas que nous ne sommes pas à la hauteur. Notre peur fondamentale est que nous sommes puissants au-delà de toute limite. C’est notre propre lumière et non pas notre obscurité qui nous effraye le plus. Nous nous posons la question : « Qui suis-je moi, pour être brillant, radieux, talentueux et merveilleux? » En fait qui êtes-vous pour ne pas l’être? Vous restreindre, vivre petit, ne rend pas service au monde. L’illumination n’est pas de vous rétrécir pour vous éviter d’insécuriser les autres. Elle ne se trouve pas non plus chez quelques élus. Elle est en chacun de nous. Et au fur et à mesure que nous laissons bruler notre propre lumière, nous donnons inconsciemment aux autres la permission de faire de même. Si nous nous libérons de notre propre peur, notre présence libère automatiquement les autres. »

Au cours de ces programmes, je suis toujours émerveillée par l’ampleur des talents et la richesse des femmes présentes. Je ressens alors une joie immense à les voir s’épanouir et accueillir leur propre lumière pour rayonner dans leurs vies.

Je vous laisse à la méditation de ce magnifique texte, et vous souhaite une belle et intense semaine pleine de lumière.

Bien dans mes baskets dans un monde qui change #BDMBattitude

Le monde change chaque jour et à mon sens , de plus en plus vite.

L’apprentissage, l’information, l’ouverture et l’accès au monde: tout est à portée de main. Je trouve cela passionnant et parfois même frustrant de ne pas pouvoir profiter de tout. Je me sens comme une enfant dans une confiserie pleine de bonbons et à qui on dirait … Tu peux en choisir 10.

Que choisir? Ce que je préfère , ce que je connais ou pas, ce qui me fait plaisir ou pas , ce qui est raisonnable ou pas, ce qui est facile à atteindre ou pas … Bref tempête sous un crâne! Il y a quelque temps, avant d’être plus attentive au monde qui m’entourait, j’aurais choisi ce que je connais, préfère , ce qui est raisonnable, et probablement ce que j’ai sous le nez. Mais ça c’était avant 😉

Alors je vous livre le mode d’emploi #BDMB attitude ….

1. Quand ta raison, ta prudence, tes peurs, tes habitudes, ta routine te dictent ta conduite et que ça te fatigue d’avance, te crée une grosse tension / colère ou bien que tu stagnes:  explore courageusement les autres possibilités – horizons, demande de l’aide ou un avis extérieur, ou prends un temps pour observer le monde qui t’entoure… « Le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux » Marcel Proust
2. Quand tu prends conscience qu’éventuellement il y aurait une 3eme , 4eme, 5eme, …. solution: consulte, documente toi, échange, demande du Feed Back. Maître Joda dirait: « Padawan, avec humilité tu agiras,  tenté(e) d’aller du côté obscure de la force (de l’habitude) tu ne seras pas »
3. Quand tu as choisi une nouvelle voie: travaille, entraine toi, expérimente, fais des erreurs, apprends, recommence, modélise encore et encore avec ténacité. Une célébrité des Bronzés dirait: « Oublie que t’as aucune chance , vas y fonce … »
4. Quand tout devient facile, simple et automatique: célèbre, apprécie, challenge et remets en cause car comme dirait un Maître kung-fu: « Petit scarabée, n’oublie jamais que ce n’est pas l’espèce la plus forte qui survit, ni la plus intelligente. C’est celle qui est la plus adaptable au changement » (Kung Fu Panda s’étant inspiré de Charles Darwin)… Toute ressemblance avec l’actualité récente serait fortuite … 😉

Ça marche très bien pour une nouvelle vie professionnelle mais ça marche aussi pour la vie tout court 😉

Encore faut il en avoir envie 😉 ou encore … ne pas refuser de savoir 😉 Ce sera pour le prochain mode d’emploi « baskets qui vont bien ».

#BDMB Attitude – Prendre le temps de souffler sur les braises …

Deux semaines sans blog, sans ce moment d’écriture où je me remémore les temps forts de la semaine passée et où je m’ancre dans le moment présent, ce moment précis où j’écris.

Là, c’est un manque, non pas de publier quelque chose mais de ne pas prendre ce court temps d’écriture chaque lundi comme j’avais pris le temps de le faire.

Il s’est écoulé 3 semaines, déjà … c’est le temps qui me sépare de mes vacances et du dernier post au retour de ces dernières. Et en même temps elles sont encore bien présentes … ces vacances, tellement elles ont été aussi simples que bonnes, bénéfiques et reposantes.

C’est un peu comme une onde sismique, une réplique de cette rupture de rythme telle un tremblement de terre … inoffensif 😉

Chaque personne que je revois après cette période estivale et qui me parle de ses vacances, me replonge dans mes vacances non pas avec nostalgie mais avec délectation comme si je retournais y puiser tous les bénéfices. Je m’étonne que 2 petites semaines, entrecoupées en plus, puissent me marquer autant.

Je prends alors conscience que le terrain était propice pour les accueillir :

Je me suis organisée pour semer pleins de petites graines d’opportunités, de business, de projets, en juillet, que je récolte aujourd’hui : je suis donc partie légère d’avoir donné le meilleur de moi même.

Depuis plusieurs mois, je monte avec soin et gourmandise, une petite pile de livres très éclectique et nourrissante, allant du roman de vacances au manuel de thérapie par l’hypnose humaniste – première fois que je lis l’intégralité des livres emportés dans mes valises, chaque livre laissait la place au nouveau avec fluidité. En vrac et entre autres: les succulents livres de Franck Lelord (Hector veut changer de vie, le voyage d’Hector ou la recherche du bonheur) , Laurent Gounelle (Les dieux voyagent toujours incognito, Le jour où j’ai appris à vivre), Patricia d’Angeli (Psychothérapie – Guérir vos blessures intérieures par la Thérapie Symbolique Avancée)…

Et pleins d’autres petits cailloux comme ces pépites semées depuis longtemps ont fait de ce temps de pause une bonne réserve de bien-être propice au déploiement de beaucoup d’énergie depuis la rentrée.

En prenant conscience de tout cela au fur et à mesure que j’écris, il me semble judicieux voire impératif de souffler sur ce trésor comme sur des braises pour que ce feu brille encore longtemps. J’entrevois quelques ajustements à faire par rapport aux 2 dernières semaines écoulées 😉 … forte de toute cette énergie en stock ; -)

Notamment celui qui me saute aux yeux dans cette période de grosse activité : concentrer mes efforts et mon énergie sur ce qui a du sens pour réaliser mes ambitions, concrètement optimiser mon agenda pour me permettre de prendre le temps de souffler sur mes braises.

C’est ça aussi la #BDMBAttitude !

Et vous, sur quelles braises allez-vous souffler, qu’allez vous réactiver pour une fin d’année bien dans vos baskets ?

#BDMB Attitude , Mandala de baskets pour la rentrée

Ce choix d’un mandala de baskets est une invitation, en ces temps de rentrée, pour méditer et s’offrir une transition avant de ré-entrer  dans le flot de la vie quotidienne.

Certains ou certaines se demanderont peut être ce qu’est un mandala? Un mandala (qui signifie « cercle » en sanscrit) n’est ni plus ni moins qu’une forme circulaire que l’on retrouve partout dans notre monde (la nature, toutes les civilisations, religions, et même dans les cellules de notre corps). Le psychiatre suisse, Carl Gustav Jung (1875- 1961) dessina des mandalas d’abord pour lui-même puis ensuite en fît dessiner à ses patients pour les aider à s’harmoniser et à retrouver une joie intérieure. Nous voyons aujourd’hui fleurir dans toutes les papeteries et librairies, ces cahiers de coloriage…

Mais rien de vous empêche d’en créer avec des formes, des objets, des éléments de la nature, vos stylos et post it sur votre bureau …

Alors je vous invite aujourd’hui à prendre un temps de pause en méditant sur ce mandala ou sur un autre 😉 Pour moi ce sera celui ci pour célébrer et méditer quelques instants sur cette période estivale qui m’a permis de me ressourcer, de respirer, de visiter, de déguster, de flâner, d’aimer, d’observer, de lire … J’ai passé un bel été dans mes baskets et même si la saison n’est pas terminée, le temps de la pause touche à sa fin. Alors… Qu’est ce que je mets en place dans les heures, les jours, les semaines, les mois qui suivent pour continuer à goûter chaque jour un temps de pause?

Je ne sais pas encore, je verrai bien ce qui émergera d’un temps de calme ou de méditation.

Et vous, retrouvez votre âme d’enfant, partagez vos mandalas de la rentrée … il suffit d’intégrer une photo à votre commentaire sur Facebook par exemple 😉